le roi est empereur en son royaume

LeRoi est-il empereur en son Royaume? « Le Roi est empereur en son Royaume » est un adage dont les sources sont confuses. En effet on l’accorde tantôt à Ily a trente ans, Didier Piganeau, alias Didier 1er régnait sur le Royaume de Basoche à Poitiers. Avec ses camarades, joyeux lurons, l’étudiant en droit, à l’esprit frondeur, s’est inventé ce Royaume, constitué de quelques bistrots et de franches rigolades. Ilfonde la domination du roi dans son royaume. Le sujet est "Rex est Imperator in regno suo" ; ces termes signifient que le roi (rex) est empereur dans son royaume. Cette maxime est née vers le 13eme siècle, à cette époque ce sont les Capétiens qui règnent en France. Leroi de France ne peut pas être dépendant du pouvoir impérial. Même affirmation pendant tout le 13e siècle, notamment par Jostice et Plet, qui affirment que « le roi ne doit tenir de nul ». Le roi est empereur en son royaume. L’indépendance du roi est affirmée par rapport à l'empereur, celle du pape. §2, Le roi « très chrétien » En1032, il finit par s’éteindre avec son dernier souverain, Rodolphe III. Son décès fait passer tout le royaume de Bourgogne, dont Payerne, sous la domination germanique de Conrad II le Salique, fraîchement couronné empereur à Rome par le Pape. En 1033, il se fait également introniser roi de Haute-Bourgogne, dans l’abbatiale de Payerne. nonton love 2015 full movie sub indo. Madeleine Bel Le Roi est-il empereur en son Royaume ?!Le Roi est empereur en son Royaume!» est un adage dont les sources sont confuses. En effet on l’accorde tantôt à des légistes du Roi capétien Philippe II Auguste tantôt à Philippe IV le Bel. D’autres voient dans cette maxime une référence à Ulpien, juriste romain du IIIème, qui avait déjà écrit !Quod principi placuit legis habet vigorem!» ce qui plait au prince a force de loi. Cependant il parait plus souhaitable de le rattacher aux légistes de Philippe Auguste. Ainsi cet adage -du XII ou XIIIème siècle- qui affirme la supériorité du Roi n’est pas nouveau. Il est clair par cette citation que le Roi a la pleine autorité sur son Royaume, tout aussi bien qu’un empereur. Pourtant au XIIIème siècle le Royaume de France est une monarchie féodale c’est-à-dire que le roi entretient des échanges avec ses vassaux inférieurs, ainsi que ses vassaux ont des vasseaux. Ainsi il n’est pas dans la même position qu’un empereur qui lui est clairement au dessus de tout ses fonctionnaires, administrateurs et qui n’entretient pas d’échanges avec eux. De plus un empire contrairement au royaume est constitué de différents territoires qui gardent leur spécificités ethniques, et notamment une certaine autonomie; ainsi qu’un Empire sous entend un désir de conquérir de nouvelles terres. Ce sujet s’applique pour les rois capétiens allant de Philippe II Auguste à Philippe IV le la monarchie féodale des capétiens est bien différente d’un empire car le roi ne détient pas le pouvoir religieux, législatif et militaire, cependant c’est sous son règne que la monarchie évolue vers une monarchie absolue. En effet par la politique du roi, différentes réformes et sa volonté le Royaume se adage s’avère-t-il véridique concernant le Royaume de France ?Premièrement dans la monarchie féodale des Capétiens les pouvoirs du roi ne font que grandir I, de plus l’empire romain est érigé en modèle II. I. Les pouvoirs grandissants du Roi dans la monarchie féodaleLe Roi Philippe le Bel souhaite voir ses pouvoirs ordinaires s’agrandir A, il puise son inspiration dans le Saint Empire B.A. Le Roi et ses pouvoirs ordinairesLe Roi de France dans un système féodal par son titre détient certains pouvoirs concernant l’armée, la législation, les finances, ainsi que ses sujets. Il détient l’autorité suprême, l’auctoritas. Ainsi par cette autorité il peut donner des mandements, qui sont des ordres destinés à ses fonctionnaires, des agents locaux. De plus avec Philippe II Auguste 1180-1223 apparaissent les ordonnances, ce sont des textes écris adressé à tout sujet. En effet ce roi est un grand législateur , car ces ordonnances ont une portée générale. C’est un moyen de réformer le Royaume. Il y a notamment les Chartes par lesquels les rois et autres souverains peuvent émettre des ordres, des privilèges ou des principes généraux à respecter. Le roi va tout de même chercher à étendre son pouvoir législatif, à l’écart des différents seigneurs qui sont ses vassaux. Ainsi les rois de France ont des pouvoirs législatifs conséquent. C’est d’ailleurs par la législation que Philippe II Auguste accroit son pouvoir dans le Royaume. Cela affaiblit par conséquence le pouvoir des hauts personnages du Royaume, vassaux du roi, et donc la féodalité. Il y a une réelle augmentation de l’autorité suprême sous le règne des capétiens à partir de Philippe Auguste. Cependant le pouvoir du roi est tout de même limité par rapport à l’Empereur dans l’Empire Romain. En effet ce dernier pouvait influencer tout son Empire par ses édits, décrets, mandats et rescrits qui avaient respectivement une influence sur tout le 403 ERROR The Amazon CloudFront distribution is configured to block access from your country. We can't connect to the server for this app or website at this time. There might be too much traffic or a configuration error. Try again later, or contact the app or website owner. If you provide content to customers through CloudFront, you can find steps to troubleshoot and help prevent this error by reviewing the CloudFront documentation. Generated by cloudfront CloudFront Request ID 8mHeKPqZh64OfDQKiERfFblfEwBIaE08IGxSbyGxOi39GLm75WKb3A== Charles Quint 1500-1558 est célèbre pour avoir été l’un des souverains les plus puissants d’Europe, régnant sur les Pays-Bas, l’Espagne et sur le Saint Empire romain germanique. Maître d’un immense empire sur lequel le soleil ne se couchait jamais », l’histoire de Charles Quint ne ressemble à aucune autre. Non seulement il fut le premier monarque à disposer d’un empire colonial situé sur le nouveau continent amérindien, mais il fut également l’heureux bénéficiaire d’une cascade d’héritages qui le plaça à la tête d’un immense domaine en Europe. Durant tout son règne, Charles Quint dû lutter à la fois contre la France lors des guerres d'Italie, contre l'Empire ottoman qui envahit l'Europe de l'Est et contre le protestantisme qui émerge en Allemagne. Les héritages de Charles Quint Le futur Charles Quint est né en 1500 à Gand en Flandres, peu gâté par dame nature, mais avec une cuillère en or dans la bouche. Francophone, il baigne dans la tradition bourguignonne des riches états de son père le duc de Bourgogne Philippe le beau, dont il hérite en 1506 – Belgique, Artois, Luxembourg, sud de la Hollande, Franche-Comté. Ses grand-parents maternels ne sont autres qu’Isabelle de Castille et Ferdinand d’Aragon, les rois catholiques », auréolés du prestige de la fin de la reconquête de l’Espagne sur les maures, qui règnent sur la méditerranée et président à la conquête du nouveau monde amorcée par Christophe Colomb en 1492. Charles Quint en hérite définitivement en 1518, prenant le nom de Charles Ier d'Espagne. Ayant écarté au passage sa dépressive mère Jeanne la Folle, il rencontre aussi quelques résistances des hispaniques qui ne voient pas d’un bon œil l’arrivée d’un souverain bourguignon. Cerise sur le gâteau, il devient, à la mort de son grand père l'empereur Maximilien Ier, archiduc d’Autriche, ce qui lui ouvre la voie de la succession à la couronne du saint empire romain germanique, couronne qu’il emporte de haute lutte en 1519 en achetant grassement les princes électeurs pour être élu empereur. Ses concurrents François Ier et Henri VIII avaient bien perçu le danger que représentait pour l’équilibre en Europe ce Charles trop bien né, et ils ne laisseront que peu de répis à Charles. Empereur du Saint Empire romain germanique Sans conteste le souverain le plus puissant de la chrétienté, Charles Quint domine alors un ensemble de territoires comprenant les royaumes espagnols d’Aragon et de Castille, les États italiens de Naples, de Sicile et de Sardaigne, les territoires conquis en Amérique et en Afrique, les Pays-Bas, la Flandre, l’Artois, l’Alsace, la Franche-Comté, ainsi que l’ensemble des possessions des Habsbourg. Face à cette nouvelle puissance habsbourgeoise, le souverain français craint pour ses terres encerclées. En fait, l’unité d’un tel empire n’est que théorique, car Charles, dont l’éducation est de tradition française et catholique, demeure un étranger en Espagne, et plus encore en Allemagne. Cette difficulté à réunir sous un même nom de si vastes possessions est d’ailleurs vite comprise par François Ier qui cherche alors à exploiter la faiblesse de Charles Quint. Charles Quint versus François Ier Charles Quint, qui a épousé Isabelle de Portugal en 1526, règne sur le Nouveau Monde comme sur l’Ancien. Ses possessions et ses origines font de lui avant tout un monarque européen. On dit de lui qu’il parlait aux hommes en français, italien aux femmes, espagnol à Dieu et allemand à son cheval. Couronné Empereur en 1520 à Aix la Chapelle, songeant d’une part à Charlemagne et d’autre part à ses marins italiens et ses conquistadors espagnols à l’assaut des Amériques, il devait probablement rêver à un possible empire universel, dont la base serait le continent européen. Sa devise –Toujours plus loin- est à la mesure de son ambition. Une ambition qui va rapidement être freiné par les nombreuses épines qui vont venir se planter dans son songe. Il y a pour commencer ce cactus planté au milieu de son domaine nommé François Ier à la tête du royaume de France, qu’il doit contourner en d’épuisants voyages par terre et par mer pour visiter son empire ou faire circuler ses armées. Entre le souverain français cerné de toutes parts et l’ambitieux Empereur s’engage une lutte à mort qui va durer quatre décennies. Malgré quelques victoires militaires –Pavie, 1525-, l’opiniâtre roi de France ne cède pas malgré la signature du traité de Madrid 1526, et les deux parties s’épuisent dans une série de guerres qui ne donneront aucun avantage durable à l’une ou l’autre. François Ier n'en démord pas et prend Charles Quint à revers en s’alliant au sultan Soliman le Magnifique, ce dernier menaçant dangereusement ses possessions habsbourgeoises en venant mettre le siège devant Vienne 1529. Charles se console en ajoutant à ses possessions la Bohème, le Milanais et la Hollande, mais échoue dans ses tentatives pour s’établir en Afrique du nord contre les Turcs. En 1529, une paix précaire dite Paix des Dames négociée par Louise de Savoie représentant le roi de France et Marguerite d'Autriche pour l'empereur est signée à Cambrai. Menaces sur l'Empire Lors de chacun des conflits contre la France, Charles Quint cherche à hâter la paix afin de se consacrer, en sus des guerres religieuses intestines, à la défense de l’Empire contre la menace ottomane. En effet, le sultan Soliman Ier, après avoir soumis la péninsule balkanique, avait déclaré la guerre à la Hongrie en 1526 et remporté la même année la bataille de Mohács. Trois ans plus tard, les Turcs assiègent Vienne. En 1535, l’amiral génois Andrea Doria, au service de Charles Quint, prend la tête d’une expédition en Afrique, met les Turcs en déroute à Tunis et libère environ 20 000 esclaves chrétiens. En 1538, la Sainte Ligue est constituée par le pape Paul III et la république de Venise. L’alliance ne dure pas et, en 1547, Ferdinand Ier, roi de Bohême et de Hongrie, frère de Charles Quint, doit signer un traité de paix avec les Turcs. L’autre menace qui plane sur l’unité même de son empire est la réforme religieuse qui commence et progresse sous son règne. Depuis 1517 se propagent en Europe les idées de Martin Luther puis de Calvin qui visent à changer en profondeur les pratiques et dogmes de l’Eglise. La Réforme va trouver entre autres des échos auprès des princes allemands, bien trop heureux de trouver un moyen de résister à l’Empereur qui n’a de cesse de rogner les libertés germaniques ». Ils s'unissent en 1529 dans la Ligue de Smalkalde. Détenteur du titre de Saint Empereur Romain, Charles Quint, fervent catholique, va lutter avec acharnement contre la Réforme. Malgré une victoire militaire à Mülhberg 1547 sur les princes luthériens rebelles soutenus opportunément par François Ier, Charles Quint est impuissant à circoncire la progression de la réforme en Allemagne, en Suisse et aux Pays-Bas. Et ce, d’autant plus que l’autorité papale est très affaiblie à cette époque, affaiblissement auquel il a lui-même contribué dans lors de ses incessantes luttes contre la France en Italie sac de Rome en 1526 sous le pontificat de Clément VII. En définitive, durant le règne de Charles Quint, seuls les Pays-Bas connaissent une période de croissance, due en grande partie à l’essor commercial des villes portuaires telles Amsterdam et Anvers. Une évolution politique s’ébauche aussi, avec la pragmatique sanction de 1549 qui reconnaît l’existence des Dix-Sept Provinces du pays comme un ensemble indivisible et impartageable ». Durant son règne, Charles Quint dirige ses territoires sous le signe de l’humanisme, avec Érasme, André Vésale ou Bruegel l’Ancien. Seule tache sombre au développement du pays, une révolte, fomentée par le monarque français, qui éclate en 1539 à Gand et est suivie d’une dure répression. Une fin de règne difficile pour Charles Quint Peu à peu, Charles Quint voit son rêve d’Empire Universel Chrétien s’évaporer. Malgré les fabuleuses richesses que ses vaisseaux ramènent des Amériques, la France l’empêche d’unifier géographiquement son empire, dont les frontières sont menacées dans les Balkans par les turcs, et il assiste impuissant à la division religieuse qui s’installe durablement en Europe. En 1555, lassé et usé par les guerres incessantes qu’il doit mener sur tous les fronts, malade et gagné par l’amertume, Charles Quint annonce à l’Europe entière stupéfaite son intention d’abdiquer. C’est un fait rarissime dont le dernier précédent remonte à l’Empereur romain Dioclétien. Lucide, il partage son immense empire entre son frère Ferdinand et son fils, le futur roi d'Espagne Philippe II. Ayant marqué de son empreinte le XVIe siècle, il se retire des affaires du monde dans le monastère de San Jerónimo de Yuste en Estrémadure. Il y meurt le 21 septembre 1558 de la malaria, emportant avec lui son rêve… Pour la petite histoire, l'empereur Charles Quint a failli être marié dans sa jeunesse à Renée de France, fille de louis XII et d’Anne de Bretagne. On se prend à rêver du destin de l’Europe si, au hasard d’un autre heureux héritage, Charles Quint avait ajouté, grâce à cette union, la France à sa collection de couronnes... Bibliographie - Charles Quint L'Empire éphémère de Jean-Michel Sallmann, Payot 2004. - Charles Quint de Philippe Erlanger. Tempus, 2004. - Charles Quint, biographie de Pierre Chaunu. Fayard, 2000. Résumé du document Commentaire de l'adage le roi de France est empereur en son royaume » qui a permis au roi de France d'affirmer sa souveraineté interne et externe entre le XIIème et XIVème siècle. Comment le roi de France s'est il inscrit comme un empereur en son royaume ? Sommaire II La souveraineté externeA. L'indépendance vis-à-vis de l'empereurB. L'indépendance vis-à-vis du PapeConclusion Extraits [...] La mention de la pleine puissance apparaît dans les actes royaux, cette notion est l'expression d'une souveraineté de type impériale. L'ordonnance de 1303 de Philippe IV le Bel contient une formule très neuve par le conseil des prélats et barons et de certaines sciences, autorité et plénitude de la puissance royale, nous abrogeons complètement, annulons, cessons, invalidons Au début du XIVème, une nouvelle mention apparaît dans les actes royaux, la certaine science Transposer la certaine science vers la personne du prince serait de décider que sur le seul fondement de sa science et sans autre justification, il serait désormais possible au prince de légiférer. [...] [...] Un franciscain St thomas d'Acquin approfondie la distinction réductrice de la Plena Potestatis pontificale entre ordre social et ordre religieux. A travers la philosophie d'Aristote, il arrive à la conclusion qu'il existe un ordre social et politique autonome, indépendant de l'ordre religieux. Il assure de plus que cet ordre est antérieur à l'ordre religieux et affirme que la communauté politique qui organisée en cité, se dote d'une structure politique qui feint qu'elle existe en elle-même. Ainsi St Thomas d'Acquin démontre que l'Etat ne saurait se couler dans le moule de l'Eglise et en dépendre. [...] [...] Dès lors, les légistes s'inspiraient des textes du droit Romain relatifs à l'autorité impériale et notamment du texte d'Ulpien affirmant que le roi est empereur en son royaume Mais cette affirmation ne sera réellement la situation du roi de France qu'après plusieurs périodes d'évolution et d'affirmation politique par le biais de roi aux ambitions césariennes internes et externes. Mais en quoi le roi de France s'est il inscrit comme un empereur en son royaume ? Pour répondre à cela, on peut s'intéresser a l'affirmation de la souveraineté interne puis de la souveraineté externe du roi de France. [...] [...] A/La suzeraineté royale Le roi a utilisé toutes les ressources possibles que lui conférait le droit féodal. Ce droit lui donnait déjà le droit d'agir si un arrière vassal le vassal de son vassal se plaignait de son seigneur. Il a ensuite cherchait à multiplier ses vassaux directs en réunissant les principautés territoriales à son domaine devenant ainsi le seigneur direct des anciens vassaux des princes territoriaux. Il multiplie les vassaux directs par le jeu des fiefs rentes qui consistent à louer pour ainsi dire un fief, ce qui est une opération avantageuse pour le roi qui par le paiement d'une rente annuelle a un formidable moyen de pression, bien plus que la concession de la terre. [...] [...] Conclusion Cette querelle Bonifacienne a posé les fondements de ce que l'on va appeler le gallicanisme qui n'est autre que la doctrine de l'indépendance politique du Royaume de France et de l'Eglise des Gaulles envers la papauté. Cette théorie est un prolongement de la pensée de Philippe IV Le Bel. Mais à la faveur du schisme les thèses gallicanes se radicalisent de plus en plus jusqu'en 1398 où le concile d'évêque français qui se prononce sur la soustraction d'obédience au Saint Siège et c'est là où l'on voit l'apogée de la primauté du roi sur le Pape. Cette Primauté va-t-elle durer ? [...] Le premier cas de contact européen avec la Mésoamérique concernait la cité-État de Tenochtitlan. Le dirigeant de l’époque, Montezuma, a joué un rôle important dans ce qui s’est passé lorsque le chef espagnol Hernan Cortes est arrivé sur les lieux avec ses conquistadors. La vie expansive — et finalement tragique — de Montezuma a servi d’exemple cruel de ce qui allait arriver à tant d’autres habitants autochtones d’Amérique du Sud et d’Amérique du Nord. Mais que s’est-il passé exactement? Quel est l’héritage de Montezuma ? Quelle est la quantité exacte? En savoir plus ci-dessous. Le Deuxième de son nomDe toute façon, je suis responsableUn roi Sous un autre nomTempérament royalVous savez que j’ai l’air BienGarder propreLes Oncles obtiennent les premiers DibsVotez Pour Moi!Amour et MariageLumières vives, Grande ville Qu’Est-Ce Qu’Un Roi Pour Un Dieu ?! »Monty militairePère fertileLe Début de la FinMaisons d’animauxCombien De Requins A-T-Il Gardé, Cependant?Est-Il Un Dieu ? C’Est Un Avion ?Faites Place À Montezuma! Non, Ne Le Regarde Pas!!Je L’Ai Fait En premier!Traître!Quelqu’un est JalouxDe Grands Cadeaux Gaspillés Sur Vous!Je crois pouvoir toucher le Ciel Vous avez de la chance qu’il ne puisse pas poursuivre en justice”Hommage tardifRocking In The New WorldX Marque L’Endroit?L’or du fouDe jolis hôtesCapture confuseDans des circonstances mystérieusesLa Chute D’Un EmpireQuel Perdant! Oui, Bien sûr, Il a dit Que…” Ce n’Est Pas Ce Que Je Voulais Dire! »Opportunistes visqueux Où est Un Historien Quand On En A Besoin ?! »Fille, Chère FilleQu’En Est-Il De Ma petite-Fille?Pleuré Par Ses EnnemisLa Renaissance de MontezumaVengeance Be Mine Le Deuxième de son nom Montezuma était en fait le deuxième homme à porter ce nom. Alors que les Aztèques n’ont pas pris la peine de différencier leurs dirigeants par des nombres, Montezuma est officiellement marqué comme Montezuma II dans les documents historiques européens. De toute façon, je suis responsable Le titre officiel de Montezuma était tlatoani.”Dans la langue nahuatl, ce terme signifie celui qui parle », ainsi que dirigeant. »La traduction anglaise pourrait aussi être king. »Montezuma était le neuvième tlatoani de la cité-État mexicaine Tenochtitlan, régnant de 1502 à 1520. Un roi Sous un autre nom Comme pour de nombreux personnages historiques anciens, le nom de Montezuma a connu de nombreuses variations dans les documents historiques. Mis à part Montezuma, il a également été connu sous les noms de Moctezuma, Motecuhzoma et Motēuczōmah. Selon les textes écrits en Nahuatl original, son nom complet était Motecuhzoma Xocoyotzin. Tempérament royal La façon dont les Aztèques prononçaient le nom de Montezuma avait une traduction unique en anglais. Puisque son nom combinait les termes de seigneur” et de froncer les sourcils en colère”, le nom de Montezuma pourrait être traduit par c’est celui qui fronce les sourcils comme un seigneur. »Une autre traduction possible est celui qui est en colère d’une manière noble.” Vous savez que j’ai l’air Bien Selon les descriptions du conquistador espagnol Bernal Diaz del Castillo, Montezuma portait ses cheveux juste au-dessus de ses oreilles”, avec une barbe courte bien entretenue. Diaz del Castillo a également écrit que Montezuma était un bel homme avec une apparence très digne. Garder propre Diaz del Castillo a également clairement indiqué que Montezuma était un homme incroyablement exigeant. Il changeait de vêtements tous les jours, ne portant la même tenue qu’au bout de trois ou quatre jours. Montezuma se baignerait également tous les jours, ce qui aurait sans doute laissé les Européens perplexes gardez à l’esprit que plus tard au 16ème siècle, la reine Elizabeth I étonna ses sujets en se baignant au moins une fois par mois. Les Oncles obtiennent les premiers Dibs Alors que Montezuma était le neuvième tlatoani de Tenochtitlan, son père était auparavant le sixième. Montezuma n’a pas succédé à son père au début; ses oncles Tizoc et Ahuitzotl étaient les septième et huitième tlatoani avant que Montezuma ne devienne le neuvième à environ 36 ans. Votez Pour Moi! En parlant de la succession, ce n’est pas uniquement à cause de sa connexion génétique que Montezuma est devenu le prochain tlatoani. Selon la tradition aztèque, un conseil de trente nobles, les anciens de Tenochtitlan, a choisi le souverain. Montezuma, ainsi que plusieurs de ses frères et cousins, revendiquèrent le leadership. Le conseil aurait choisi Montezuma uniquement sur ses mérites plutôt que sur la priorité de l’âge. Amour et Mariage Montezuma avait ce que nous pourrions appeler un harem de femmes aujourd’hui. Cependant, parmi ses nombreuses épouses et concubines, seules deux d’entre elles sont officiellement devenues reines de Tenochtitlan. Ces deux étaient Tlapalizquixochtzin et Teotlalco, dont ce dernier était la mère de sa fille plus sur elle plus tard. Lumières vives, Grande ville À son apogée, la ville de Tenochtitlan de Montezuma était la plus grande ville de Mésoamérique et l’une des plus grandes du monde entier. Sa population la plus importante se situait entre 200 000 et 300 000 habitants, ce qui la rendait cinq fois plus grande que Londres sous le règne d’Henri VIII. Les seules villes européennes qui pouvaient espérer rivaliser avec elle en termes de taille étaient Constantinople, Venise et Paris. Pour leur part, la vue de la ville stupéfia Hernan Cortes et ses hommes, Cortes écrivant en Espagne la comparant à leurs villes les plus grandes et les plus impressionnantes. Qu’Est-Ce Qu’Un Roi Pour Un Dieu ?! » Le pouvoir de Montezuma en tant que tlatoani venait d’un contexte religieux plutôt que politique. Le système de croyance de Tenochtitlan a déclaré que les nouveaux tlatoani passeraient par un rituel qui les rendrait capables de parler avec la voix du dieu Tezcatlipoca. En conséquence, il serait plus approprié de considérer Montezuma comme un roi-dieu plutôt que comme un simple monarque. Monty militaire Un facteur qui avait valu à Montezuma la position de tlatoani était sa capacité martiale. Puisque les tlatoani commandaient les forces de Tenochtitlan, Montezuma aurait dû être un puissant guerrier et commandant pour être considéré comme digne. En effet, après être devenu le souverain de Tenochtitlan, Montezuma se lancera dans plusieurs campagnes, mais avec un succès mitigé malheureusement, sa plus grande défaite est survenue lorsque les Espagnols sont arrivés sur les lieux. Père fertile Selon le petit-fils de Montezuma, Fernando Alvarado Tezozomoc, Montezuma a eu 19 enfants en tout huit filles et onze fils. Le Début de la Fin Lorsque Montezuma a découvert pour la première fois l’arrivée des Espagnols en Mésoamérique, l’année était 1517. Il régnait sur Tenochtitlan depuis environ 15 ans et il avait environ 41 ans. Les choses se passaient plutôt bien jusqu’à présent — mais tout cela était sur le point de changer. Maisons d’animaux Le palais de Montezuma à Tenochtitlan était si massif et extravagant qu’il avait deux zoos! L’un d’eux présentait exclusivement des oiseaux de proie, tandis que l’autre contenait toutes sortes de mammifères, de reptiles et d’autres oiseaux. Il a fallu un personnel d’environ 300 personnes pour gérer ces zoos et les animaux qu’ils contenaient. Combien De Requins A-T-Il Gardé, Cependant? Comme si cela ne suffisait pas, le palais de Montezuma contenait également un aquarium ! Il gardait un grand nombre de poissons et d’animaux aquatiques dans une vingtaine d’étangs artificiels. Encore un autre exemple de l’incroyable symétrie trouvée dans l’architecture mésoaméricaine, 10 de ces étangs contenaient de l’eau douce, tandis que les 10 autres contenaient de l’eau salée. Est-Il Un Dieu ? C’Est Un Avion ? L’idée traditionnelle de la rencontre de Montezuma avec Hernan Cortes est que Montezuma, basé sur le moment de l’arrivée de Cortes avec le calendrier aztèque, croyait que Cortes était le dieu Quetzalcoatl retourné sur terre. Les historiens l’ont longtemps utilisé pour expliquer la réaction de Montezuma aux Espagnols. Cependant, cette explication n’a été donnée que des décennies après les faits, et de nombreux historiens modernes la considèrent maintenant comme une fabrication utilisée pour justifier pourquoi les choses se sont déroulées comme elles l’ont fait. Faites Place À Montezuma! Non, Ne Le Regarde Pas!! Conformément aux traditions de traitement du tlatoani, chaque fois que Montezuma sortait de son palais, les serviteurs le portaient dans une grande litière. Il était interdit aux gens ordinaires de le regarder directement, bien que nous imaginions qu’ils devaient également s’assurer qu’ils ne gênaient pas non plus ses serviteurs! Je L’Ai Fait En premier! Contrairement à la croyance populaire, Hernan Cortes n’était pas le premier Espagnol dont Montezuma a entendu parler. Cet honneur revient à Juan de Grijalva, qui a exploré le Mexique deux ans avant Cortes. Bien qu’il ait rencontré une délégation d’hommes qui ont servi Montezuma, il ne s’est jamais rendu à Tenochtitlan. Si seulement Cortes avait pris après lui… Traître! Fait intéressant, l’un des hommes de la délégation qui a accueilli Juan de Grijalva a fini par rejoindre la compagnie de de Grijalva, abandonnant son service à Montezuma. Nous le savons parce que l’homme a été baptisé Francisco et accompagnerait Hernan Cortes dans son expédition à Tenochtitlan en tant qu’interprète. Quelqu’un est Jaloux Après avoir appris les explorations de Juan de Grijalva, Montezuma a envoyé des gardes supplémentaires pour surveiller tous les nouveaux voyageurs, insistant pour qu’il les découvre le plus tôt possible. En 1519, il apprit l’arrivée de Cortes, et il apprit également que Cortes avait conclu une alliance avec une tribu appelée les Tlaxcaltèques, l’un des plus grands ennemis des Aztèques. En réponse, Montezuma souhaitait montrer sa supériorité aux Tlaxcaltèques, il envoya donc des cadeaux aux nouveaux arrivants. Il est sûr de dire que cela aurait certainement attiré l’attention de Cortes. De Grands Cadeaux Gaspillés Sur Vous! Le 8 novembre 1519, Cortes et Montezuma se rencontrèrent face à face pour la première fois en dehors de Tenochtitlan. Les deux hommes échangèrent des cadeaux, Montezuma présentant à Cortes un calendrier aztèque en forme de disques d’or et d’argent. À la grande fureur et à la consternation de tous les amateurs d’histoire lisant ceci, Cortes fonda plus tard les deux disques, intéressé uniquement par le montant d’argent qu’il pouvait obtenir des métaux précieux. Je crois pouvoir toucher le Ciel Avant de devenir tlatoani, Montezuma n’était pas seulement un général de l’armée de Tenochtitlan, il était aussi un grand prêtre au sein de leur religion. Les documents historiques font une grande partie de sa piété, consultant régulièrement des prêtres et des saints, même lorsqu’il était tlatoani. Vous avez de la chance qu’il ne puisse pas poursuivre en justice” Avant d’écrire le roman classique Ben-Hur, Lew Wallace a dépeint Montezuma dans son premier roman The Fair God. Wallace a poussé le mythe selon lequel Montezuma supposait que Cortes devait être le dieu Quetzalcoatl. Il affirme que cette croyance a rendu Montezuma faible et incertain, ordonnant même à ses propres armées de cesser d’attaquer les Espagnols alors qu’elles auraient pu les anéantir pour de bon. Hommage tardif Non seulement une montagne et une rivière de Mexico partagent le nom de Montezuma en son honneur, mais il en va de même pour plusieurs espèces d’animaux et de plantes. Il s’agit notamment de la caille de Montezuma et du Pinus montezumae. Rocking In The New World En 1975, le musicien canadien Neil Young a sorti l’album Zuma, qu’il a nommé d’après Montezuma. Pour cimenter cela, il a appelé l’une des chansons de l’album Cortez the Killer”, détaillant la chute des Aztèques. X Marque L’Endroit? Un aspect assez étrange de l’héritage de Montezuma est le mystère de son trésor perdu. Une version de l’histoire derrière ce trésor est l’idée que lorsque les Espagnols ont pris Montezuma en otage, ils s’attendaient à une rançon. Plutôt que de renoncer à leurs richesses, les Aztèques ont caché de vastes quantités d’or, agissant comme s’ils ne pouvaient pas se permettre une telle rançon. L’or du fou Malgré de nombreuses tentatives au cours des siècles pour trouver le trésor légendaire de Montezuma, et malgré de nombreuses affirmations selon lesquelles les gens sont tombés sur ledit trésor, il n’y a aucune preuve qu’il ait jamais existé. D’une part, les histoires n’ont jamais mentionné les Espagnols exigeant une rançon pour la liberté de Montezuma. Aucune fouille n’a mis au jour ce trésor supposé, et les historiens s’accordent généralement à dire qu’il s’agissait simplement d’un mythe. De jolis hôtes Selon les sources historiques, les Aztèques ont accueilli Cortes et les Espagnols à Tenochtitlan et leur ont permis de rester dans la grande ville pendant plusieurs mois. Nous ne savons pas pourquoi Montezuma était si généreux, certains affirmant qu’il craignait les Espagnols, ou qu’il voulait en apprendre davantage sur ces gens étranges. Il aurait également pu prévoir de les endormir dans un faux sentiment de sécurité jusqu’à la saison des récoltes, quand il pourrait rassembler ses armées et attaquer. Capture confuse À un moment donné pendant le séjour des Espagnols à Tenochtitlan, Cortes fit prisonnier Montezuma chez lui. Nous ne savons pas quand exactement cela s’est produit, ni comment, étant donné à quel point les Aztèques étaient plus nombreux que les Espagnols dans la ville. Nous ne savons pas non plus pourquoi ils ont fait prisonnier Montezuma, bien que certains spéculent qu’il souhaitait expulser les Espagnols de la ville. Dans des circonstances mystérieuses Tout comme nous ne connaissons pas la vérité derrière la capture de Montezuma, nous ne connaissons pas non plus la vérité sur sa disparition. Il existe plusieurs versions de sa fin, sans aucune indication quant à qui a raison et qui ment. Une théorie est que les Espagnols ont pris la vie de Montezuma, tandis qu’un autre prétend que son propre peuple l’a abattu lorsqu’il a essayé d’empêcher l’effusion de sang dans la ville. Nous ne saurons jamais exactement ce qui lui est arrivé, du moins jusqu’à ce que nous inventions enfin une machine à remonter le temps qui fonctionne. La Chute D’Un Empire Après la fin de Montezuma, les Espagnols ont fui Tenochtitlan. Cependant, ils sont rapidement revenus, cette fois avec des milliers de Tlaxcaltèques comme alliés. Ils ont entrepris de conquérir Tenochtitlan et de le piller sans pitié. Quel Perdant! Bien que le royaume de Tenochtitlan ait atteint sa plus grande étendue sous le règne de Montezuma, l’histoire l’a souvent dépeint comme un souverain très faible et incertain. Cela peut être dû au fait que l’Empire aztèque avait besoin d’un bouc émissaire pour justifier pourquoi ils ont été victimes des envahisseurs espagnols. Montezuma a servi cet objectif et a donc été vilipendé dans les livres d’histoire. Oui, Bien sûr, Il a dit Que…” Il reste un mystère controversé sur ce qui s’est exactement passé lorsque Cortes et Montezuma se sont assis et ont commencé à communiquer entre eux. Selon Cortes lui-même, écrivant au roi d’Espagne, Montezuma soumit volontairement son royaume à l’Espagne. Comme il semble peu probable qu’un roi-dieu abandonne si ardemment son autorité, il est prudent de supposer que Cortes mentait ou se trompait. Ce n’Est Pas Ce Que Je Voulais Dire! » Une raison possible de la reddition supposée de Montezuma pourrait résider dans une perte de traduction du Nahuatl en espagnol. C’était une coutume parmi les gens de Montezuma de parler en termes très polis, ce qui aurait pu conduire à la confusion s’il était mal traduit. Bien sûr, cela signifie que nous ne saurons jamais exactement ce que Montezuma voulait vraiment dire. Opportunistes visqueux Une autre raison pour laquelle Cortes aurait pu prétendre que Montezuma se soumettait à l’autorité du Roi espagnol est que cela donnerait au Roi une justification pour l’attaquer. Selon la loi espagnole, le roi ne pouvait pas forcer les gens à se soumettre à lui, mais il pouvait punir les rebelles en toute impunité. Cortes aurait peut-être cherché une échappatoire morale pour conquérir Tenochtitlan si une telle échappatoire pouvait exister. Où est Un Historien Quand On En A Besoin ?! » En raison des sources incertaines, nous ne savons pas exactement ce qui est arrivé aux enfants de Montezuma. Les Espagnols auraient fait prisonniers deux de ses fils après la chute de Tenochtitlan. De nombreuses sources affirment qu’ils ont perdu la vie en captivité espagnole, mais il est difficile de le dire avec certitude. Fille, Chère Fille Après la perte de son père quand elle était enfant, la fille de Montezuma, Tecuichpoch Ixcaxochitzin, a passé son adolescence à être utilisée comme pion à cause de son nom. Elle a été mariée au successeur de Montezuma qui était aussi son oncle avant sa mort prématurée de la variole 60 jours plus tard. Elle fut ensuite mariée au suivant et dernier tlatoani de Tenochtitlan son cousin Cuauhtémoc. Les Espagnols s’emparèrent de Cuauhtémoc après qu’ils eurent conquis Tenochtitlan avec leurs alliés aborigènes. Tecuichpoch survécut à son mari les Espagnols l’exécutèrent et entra en relation avec nul autre qu’Hernan Cortes lui-même. Cortes s’est avérée n’être pas différente de ses partenaires précédents; il a forcé Tecuichpoch à se convertir au catholicisme et l’a baptisée du nom d’Isabel. Qu’En Est-Il De Ma petite-Fille? Isabel, comme on l’appelait dès lors, aurait une fille avec Cortes, l’homme qui avait capturé et peut-être tué son père. Comme vous pouvez l’imaginer, leur relation s’est très vite détériorée et Cortes l’a mariée à l’un de ses collègues. Cependant, Cortes a reconnu et soutenu financièrement sa fille illégitime et la petite-fille de Montezuma. Cette fille était Leonor Cortes Moctezuma, et elle épouserait Juan de Tolosa et aurait au moins trois enfants avec lui. On ne sait pas quand elle est passée, mais nous savons que c’était quelque temps avant 1594. Pleuré Par Ses Ennemis Étonnamment, le décès de Montezuma a véritablement ému les Espagnols. Bernal Diaz del Castillo a écrit que lui, Cortes et les autres conquistadors pleuraient pour Montezuma, qu’ils considéraient non seulement comme le meilleur roi qu’ils aient jamais eu au Mexique”, mais aussi une sorte de figure paternelle pour eux. Comme c’est tragique, alors, ce qu’ils allaient faire subir au peuple de Montezuma dans les siècles qui ont suivi. La Renaissance de Montezuma Au cours du XVIIIe siècle, Montezuma a fait l’objet d’un nombre surprenant d’opéras. Antonio Vivaldi, Josef Myslivecek, Carl Heinrich Graun et Niccolo Antonio Zingarelli ont tous pris le temps de rédiger des œuvres sur le souverain déchu. Vengeance Be Mine À ce jour, les Mexicains ont un surnom pour la diarrhée qui afflige fréquemment les touristes » La vengeance de Montezuma. »L’implication vient de la légende urbaine selon laquelle Montezuma aurait jeté une malédiction contre les Européens qui massacreraient et asserviraient les Aztèques. Pour être juste, si c’est vrai, ce ne serait certainement pas immérité.

le roi est empereur en son royaume